Réflexion – Acceptons-le, souvent l’imaginaire est une force de l’incompréhension
Vraiment?… ou peut-être?
Le monde du sport nous en donne souvent l’exemple, pour toutes disciplines sans faire aucune comparaison, ne serait-ce en rapport à l’évolution reconnue… du siècle passé.
Oui, tout évolue. Cependant, pas seulement en regard aux résultats, mais bien au psychisme du sportif et de la sportive du vingt et unième siècle. Les exigences sont telles pour en arriver à l’Olympe de ses désirs, que le sportif en deviendrait-il… esclave de son environnement ?
On devrait parfois en gérer une réflexion d’importance.
Pourquoi, pour accéder au plus haut niveau, doit-il se soumettre à un environnement plus que sélectif en acceptant un… livre de conditions, lui offrant toute l’organisation d’une PME ? Environnement, où il risque de n’être plus qu’un exécutant… sans âme en ne pouvant plus désirer le… plaisir.
Plaisir, pourtant si nécessaire à toutes réussites.
Mais, où se cache le plaisir ?
Certainement pas dans les logiciels de l’Intelligence artificielle (IA). Heureusement, car elle n’est pas « encore ? » à vous dicter vos émotions. A savoir des émotions dirigées pour chaque sportive et sportif à des fins de résultats programmés.
Cependant… jusqu’à quand ?
Une manipulation ?
Nous le savons, la planète sport a souvent attiré des opportunistes n’ayant rien à voir avec la culture éducative que représente le sport. L’attrait de l’argent, par la tricherie, nous l’a trop souvent démontré. Un fléau pour notre jeunesse influencée par les réseaux sociaux et l’exemple qui leur en est donné lors de compétitions, telles tricherie, violence, simulation et dopage.
Eh oui ! Bonjour tristesse !
Quelle évolution ?
Essayons une réflexion sur l’évolution offerte aux sportifs et sportives par un petit retour sur ce que l’on pourrait désigner aujourd’hui, comme acquis.
A l’avènement et la « prise de possession » des télévisions dès les Jeux olympiques de Rome en 1960, un intérêt possessif s’est emparé des grandes entreprises par l’obligation du résultat, du record. On changea les mentalités par l’intrusion de l’argent. Soit le sponsoring !
Impressionnant aussi la recherche dans le matériel au profit non seulement pour l’athlète, mais surtout par volonté de pousser à l’extrême l’évolution des records et victoires. Il n’y a qu’à se référer au dernier record mondial de saut à la perche où tout est millimétré, pesé, allant jusqu’à définir le diamètre de la perche en relation à la grandeur des mains.
Aucun sport en est délaissé, cela fait partie de cette volonté de soumettre la technique au profit du sportif et du résultat.
Cependant, quels risques ?
Une simple comparaison entre un « cuir » de football de 1960 et le ballon moderne.
Une raquette de tennis en bois aux actuelles, en fibre de carbone, qu’utilisent mêmes les débutants.
Des chaussures scientifiques, autorisant un record mondial du marathon.
Des skis que « presque » seulement les champions peuvent utiliser.
Sans oublier les vélos y compris les casques, les sports motorisés et les bateaux… volants.
Alors, il est vrai que l’on ne peut y déroger.
Mais… il y a un grand MAIS !
Est-ce que cet apport technique deviendrait le pendant d’un certain fléau que nous n’avons pas encore réussi à éradiquer ? A savoir le dopage !
C’est un terrible sujet à réflexion pour chacun, cependant, surtout pour les sportifs.