… et après on recommence!
Ultime édition de l’année, c’est l’occasion de vous remercier, et de féliciter tous les intervenants, en amont comme en aval, pour l’intérêt porté à la vie de la région et à son relais dans ce média.
Le chemin vers la simplicité de lecture – et de sa compréhension – est souvent complexe et parsemé de pièges.
Autant de pièges qu’il y a d’intervenants. De la prise de rendez-vous par le journaliste, l’entretien lui-même puis sa rédaction, les vérifications, la relecture de l’article et les corrections inévitables, les choix inhérents à son placement dans l’édition et sa présentation, puis le choix des images et quantité de règles déontologiques à respecter. Pour terminer, la mise en page et l’impression qui n’en sont pas moins complexes. Le professionnalisme, l’expérience et la concentration à tous les stades de la fabrication de cet humble hebdomadaire est impératif, comme il l’est dans tous les médias.
Rien n’est plus agaçant que d’avoir l’œil qui pique devant l’accord d’un participe passé (sic) ou de nommer Christophe un invité qui se prénomme Stéphane…
Cette petite incursion dans les détails de la fabrication d’un journal nous prouve que nous sommes humains et que l’IA n’a pas encore remplacé nos envolées lyriques. Le Courrier vit pour et par une région, ses lecteurs, annonceurs, collaborateurs, ses plumitifs, journalistes ou poètes. Soyez tous remerciés pour vos appels, remarques et critiques, Le Courrier est une plateforme d’échange et de débats, elle doit l’être plus encore en 2024, c’est pourquoi toute la rédaction se joint à moi pour vous souhaiter d’excellentes fêtes de fin d’année ainsi qu’une entrée du bon pied dans l’année qui suit.