Une année de solutions, c’est ce que je souhaite à tous à l’occasion de la première édition 2024.

Des solutions comme autant de réponses au tourbillon de catastrophes qui continuent à se succéder malgré le passage à un an nouveau. A l’image des solutions de nutrition pour se remettre d’aplomb après la période gargantuesque des fêtes. Ces recettes de grand-mère, ou de bon sens, à vous de voir, inaugurent cette première édition comme un conseil pour repartir du bon pied après l’Avent.

Des solutions il en faudra, et on aimerait les voir mises en œuvre face aux divers conflits et menaces qui pèsent sur le monde tel qu’il est. Sans une volonté farouche, le pessimisme est à deux doigts de nous envoyer dans le mur, de nous renvoyer aux années trente ou dans la guerre froide.

Le monde est tel qu’à un embrasement, il est répondu par une allumette. A des guerres qui se déclarent, d’autres conflits répondent dans une année 2024 qui verra près de la moitié de la population mondiale convoquée aux urnes. Ce pourrait être un non-sens si ce n’était pour ce fragile espoir de démocratie.

L’analyse froide pourrait éteindre ce précaire espoir. Un regard à l’Est, puis un regard vers l’Ouest fait vaciller la pensée. Les augures se troublent devant tant de bêtise et de crédulité. Les urnes elles-mêmes doutent de leur utilité jusqu’à se demander à quel simulacre elles participent.

Pourtant espoir il y a. A lire entre les lignes des informations reçues, certaines voix émergent qui proposent un chemin tangible. Des solutions sont esquissées qui, de croquis, pourraient rejoindre la grande toile et redonner des couleurs à ces tons meurtris.

La grande Histoire encore une fois donne la leçon ; c’est pendant la guerre, à Solferino au milieu du XIX^e siècle, que nait l’aide humanitaire. C’est à l’issue des guerres que l’aviation et les communications se démocratisent.

Paradoxalement, ce sont les périodes de crise qui voient naitre le meilleur de l’être humain.

Bonne année…