Savigny 2019 – 100e anniversaire de la Fédération vaudoise des Jeunesses campagnardes

La fête de toute une vie

Chantal Weidmann Yenny syndique de Savigny. |. La jeunesse n’est pas une période de vie, elle est un état d’esprit. Et quel magnifique état d’esprit que celui de la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes qui fête cette année son 100e anniversaire. Une année de jubilé qui a commencé par le camp de ski aux Diablerets, puis sa mise à l’honneur par le spectacle de commémoration à Beaulieu et la parution du livre «Cent ans et toujours jeune», poursuivie par le rallye à Ecublens et, dans quelques jours, fêtée durant trois semaines à Savigny. C’est bien la première fois que la Municipalité aura le plaisir d’honorer une centenaire. Mais nous ne serons pas seuls, car elle sera entourée de nombreuses amies et amis de toutes les régions du canton. Et ce qui est encore plus magnifique, c’est la surprise que lui ont réservé ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. Depuis plus d’une année, ils lui préparent sans relâche le plus beau des cadeaux: un site magnifique, ponctué de constructions étonnantes et agrémenté de décors époustouflants. Elle ne pourra également pas résister aux délicieux brunchs et repas animés de spectacles divers et variés. Quelle extraordinaire fête en perspective! Mais le plus merveilleux, c’est de voir que c’est une dame encore très alerte, qui a encore et toujours les yeux qui pétillent et qu’elle a tant d’histoires à nous raconter. Des histoires qui mettent en lumière sa fierté d’avoir transmis à plusieurs générations des valeurs de respect, d’engagement et d’amitié. Alors venez nombreux fêter la FVJC, vous serez toutes et tous les bienvenus à Savigny. Car ce qu’elle appréciera par-dessus tout, c’est de pouvoir partager avec toutes les générations son état d’esprit incroyablement positif qui l’a accompagnée jusqu’en 2019 et qu’elle perpétuera de nombreuses années encore.
Cédric Destraz, président de la FVJC
C’est une très belle expérience de vie

Propos recueillis par Monique Misiego. |. Une Fête cantonale des jeunesses campagnardes, c’est environ 115 membres qui œuvrent depuis une année et demie. Parmi ces 115 membres, nous sommes allés à la rencontre de Cédric Destraz, président de la Faîtière du canton. Le sourire est large, la poignée de main ferme.
Cédric, depuis quand faites-vous partie de la jeunesse ? J’ai commencé à 15 ans et j’en ai 29. Je suis rentré dans la jeunesse à 15 ans, après avoir terminé l’école obligatoire comme le précisent les statuts.
Et pourquoi y êtes-vous rentrés ? Parce que j’avais envie de m’investir pour mon village. De rencontrer du monde et de me faire des amis. J’aime le contact, j’aime le côté sportif aussi, la jeunesse représentait tout ce que je recherchais. Ma famille suivait aussi les jeunesses depuis pas mal de temps parce que mes parents y avaient beaucoup d’amis mais n’en faisaient pas partie. J’ai donc baigné dans cet environnement depuis mon plus jeune âge.
Vous êtes président de la Faîtière, mais pas de l’organisation ? Non il y a un président propre à cette organisation. Je suis président de la Faîtère depuis 2016. Je travaille avec deux vice-présidents, un caissier et un secrétaire. Puis il y a quatre comités de girons pour les quatre régions du canton de Vaud, et finalement 11 commissions qui ont chacune leur spécificité, comme le tir, le théâtre, les archives, la commission technique etc. Quand on regarde autour de nous, on voit plein de gens s’activer. Vous-même semblez très présent, combien cela représente-t-il d’heures de travail ? Pour ce qui est de ma fonction de président de la FVJC, je dirais une heure par jour sur 365 jours. Quant aux 115 personnes qui forment Savigny 2019, nous en sommes à 39’000 heures depuis une année et demie.
Il y a quelques années, on entendait des avis négatifs sur les jeunesses. A l’heure actuelle, les employeurs reconnaissent que mentionner sur CV que vous faites partie d’une jeunesse peut être un atout par rapport à d’autres. Vous l’avez aussi remarqué ? Oui, nous incitons nos membres à le mentionner et à le faire valoir. Sur une manifestation comme celle-là, on apprend à tout faire, on apprend à gérer du monde, à gérer l’imprévu. Il faut être souple d’esprit, on développe le travail en équipe, tous ces points sont des atouts indéniables pour une entreprise. Nous donnons aux membres qui ont participé à un tel événement un diplôme reconnu par la Fédération des jeunesses. Et nous incitons dans la mesure du possible les employeurs à en tenir compte.
On peut dire que le fait de faire partie d’une jeunesse correspondrait à l’armée il y quelques années ? C’est un peu ça oui. Comme ils aimaient engager des employés qui avaient fait l’armée, ils apprécient beaucoup les qualités acquises dans ces organisations. L’armée est souvent reconnue pour son école de vie et la formation qui donne du succès aux futurs jeunes cadres. Les Jeunesses campagnardes permettent au même titre de donner une plus-value à ces travailleurs bénévoles.
On peut imaginer que cette organisation vous prend tout votre temps. Qu’en est-il des vacances, de la vie de famille ? Quand on accepte de faire partie d’une telle organisation, on met de côté pendant une année les vacances, la vie de famille, les loisirs. Mais on vit une expérience très forte. On est 115 personnes à travailler sur cette fête, et ce sont 115 caractères différents. Mais on s’apporte énormément mutuellement. C’est une très belle expérience de vie.

Mathias Dupertuis, président du comité d’organisation
100e anniversaire de la Fédération vaudoise des Jeunesses campagnardes
La «Fédé» en maître d’apprentissage ?

Jean-Pierre Lambelet |. Aujourd’hui, il n’y a plus aucun membre de la «Fédé» qui pourrait nous décrire la composition sociale de ces pionniers qui décidèrent en 1919 de s’unir en créant une fédération. On peut imaginer un groupe essentiellement masculin, fils de paysans ou de métiers proches de l’agriculture. A cette époque, les chevaux peuplaient les campagnes en fidèles compagnons de l’homme. Au sortir de la première guerre mondiale, la mécanisation agricole en était à ses débuts. Mais que faisaient donc ces jeunes gens? Pour la grande majorité d’entre eux, ils apprenaient leur métier directement sur place à la ferme, ou à la forge, chez le sellier, le charpentier, le menuisier, le charron, l’arboriculteur, le bûcheron, etc. Puis vinrent les métiers liés à la mécanique, les tracteurs, les machines agricoles, etc. Quelques-uns se destinaient à des études académiques pour devenir vétérinaire, professeur, enseignant. Et grâce à une formation sérieuse et de qualité, il y en a eu des anciens de la «Fédé» qui ont gravi les échelons sociaux et professionnels jusqu’aux plus hautes fonctions dans notre canton de Vaud et en Suisse! En 100 ans, une énorme évolution sociale et technologique a changé notre manière de vivre, mais la valeur de l’apprentissage reste toujours aussi importante.
Et quoi de mieux que l’organisation d’un 100e anniversaire pour parfaire sa formation ! De manière non exhaustive, on peut faire le tour des principales activités que génère une telle manifestation: Planification, direction, logistique, constructions, finances, livret de fête, sponsoring, médias, bénévoles, sports, terrains de sports, tir, prix, animation, décoration, circulation, parking, cortège, sanitaires, eau potable et eaux usées, électricité, internet, nourriture, boissons, déchets, gadgets, sécurité, camping, garderie, etc. A chacun de ces postes, une commission composée de bénévoles va mener à bien ce colossal projet de réussir un magnifique centenaire à Savigny. Et pour la grande majorité d’entre eux, c’est une première! Donc, un apprentissage XXL !
Et aussi pour Mathias Dupertuis, président du comité d’organisation… ! Pour apprendre à maîtriser l’ensemble d’une aussi grande manifestation, il faut des idées claires, une ligne de conduite bien définie, de la volonté, de la rigueur, de la persuasion et aussi beaucoup de patience et de doigté quand il faut gérer des conflits.
Mathias a hâte de voir débuter la Fête ! Comme tous ses copains bénévoles qui s’activent depuis des semaines, la fatigue se fait sentir et peut fragiliser les rapports humains. Mais, en même temps, de voir le 3 juillet se rapprocher à grands pas augmente le taux d’adrénaline et booste les envies de réussir cet énorme pari en faisant du 100e de la « Fédé » le troisième plus grand événement sur sol vaudois après Paléo et le Montreux Jazz Festival! Et cet apprentissage restera unique et une expérience de vie magique!


En compagnie du responsable de la programmation
Frédy Wolf, le polyvalent

Alain Bettex. |. Pour aborder Frédy Wolf, nul n’est besoin de prendre rendez-vous, il est disponible tout de suite. Bien qu’il figure en haut de l’affiche, membre du comité directeur de Savigny 2019, il nous met tout de suite au parfum: «J’ai un petit moment maintenant avant d’entreprendre un autre travail». Frédy a fait un apprentissage de mécanicien sur machines agricoles, suivi d’un diplôme d’ingénieur à Yverdon. Il est employé d’une société de machines automatiques, en charge de la technique et du suivi. Et ça paraît. Membre de trois commissions: animations, gadgets et livret de fête, manifestement il a l’habitude qu’on ne lui marche pas sur les pieds, tout en ayant un profond respect pour les personnes qui travaillent avec lui. Il avoue sans ambages qu’il s’est fait mettre à la porte de la Jeunesse de Savigny dès qu’il s’est marié… comme le règlement l’exige. Il est père de trois enfants en bas âge, Madysson, Jayson et Marvyn. Mais dès qu’a été connu le résultat de l’attribution de la 100e, il s’est mis tout de suite au service de «sa» Jeunesse. Celui que ces ex-coreligionnaires appellent Gogo a tout de suite donné le ton aux trois commissions dont il fait partie. Pour acquérir un maximum d’annonces qui, dans un premier temps servent à payer les factures, il faut se répartir le travail. Inutile «d’achaler» plus d’une fois les patrons ou responsables de la pub, le retour est de près de 40% d’avis favorables. Nous sollicitons toutes les entreprises, petites ou grandes, principalement dans le canton de Vaud. Les prix pratiqués sont extrêmement bas pour une petite PME qui désire une annonce «carte de visite» à 90 francs. En revanche, comme c’est le cas pour les gros annonceurs, nous avons des contrats d’exclusivités, par exemple: la banque, la bière et les boissons. Les deux carnets de fête ont été édités au format A4. Un pour le programme de 146 pages, plus couverture et un spécialement destiné aux Jeunesses du canton avec tous les membres qui ont travaillé et les commissions. Celui-là contient 188 pages, plus couverture. Ils sont distribués bien entendu en premier lieu à nos annonceurs, à la presse, aux Jeunesses du canton et sont à disposition. Frédy Wolf nous avoue que depuis l’attribution de la fête, il y consacre tout son temps libre. « Certains jours, je travaille 8 heures pour mon employeur, 8 heures pour la Fédé et le reste pour ma famille et le dodo, samedi et dimanche compris ». Sur les 115 bénévoles qui travaillent d’arrache-pied pour que la fête soit réussie, on peut remarquer que Chantal Weidmann Yenny, la syndique de Savigny, s’est spontanément inscrite.

Fabrice Destraz, responsable des constructions
Sans lui, la Fête serait impossible

Alain Bettex. |. Il est sans conteste la cheville ouvrière de cette Fête du 100e. Fabrice Destraz, qui n’a pas encore de sobriquet avoué, est responsable des constructions. Bien qu’il habite Essertes, il a été président de la Jeunesse de Savigny. A 32 ans, il vit pour la «Fédé», c’est là qu’il peut s’y exprimer. Le Gremaudet, la place de Fête du 100e, est son deuxième lieu de résidence, très souvent le premier ! Fabrice nous avoue être très impliqué en tout ce qui concerne la «Fédé» (FVJC, Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes). Il a bien essayé de créer une Jeunesse à Essertes, son village, mais faute de combattants, il a dû se rabattre à Savigny où il est ancien président. Après un apprentissage de mécanicien sur auto, la passion du bois a été la plus forte et il a réussi les examens prescrits par l’article 41 après deux ans, pour devenir charpentier dans l’entreprise Sonnay Charpente SA, à Palézieux. Avec 7 ou 8 collègues, qui ont l’âge des Jeunesses de son entreprise, ils travaillent comme des forcenés pour que «leur» Fête soit réussie. Au départ, lorsque les propriétaires des terrains ont très sympathiquement été d’accord pour signer un protocole de principe, le comité formé à cette occasion a pu présenter un projet à la Fédé, qui a été approuvé. De là, tout s’est enchaîné. Il a fallu faire des plans, non sans discussions. «Lorsque tout le monde s’est mis d’accord, on a foncé dès la deuxième semaine du mois d’août 2018. On a contacté les fournisseurs, machines, matériels, panneaux de bois, poutraisons, visserie, etc., etc. en offrant des garanties. L’entreprise Makita par exemple nous a mis une trentaine de machines neuves à disposition gratuitement. Elles sont pour la plupart autonomes, parce qu’au départ on n’avait pas d’électricité. Toutes ces entreprises ont joué le jeu, aucune anicroche. Il faut aussi dire que par sa stature, Fabrice en impose. Il est un interlocuteur crédible. D’une discrétion exemplaire, selon certains, presque trop. Par exemple, les entreprises Daniel Ruch SA (dont sept employés travaillent spontanément à la Fête), Emery Arbres SA et Samuel Stauffer SA ont mis des véhicules importants et gratuitement à disposition. Ces entreprises étaient certaines que leurs machines seraient utilisées par des professionnels, en réduisant au maximum les risques de casse ou de mauvaise utilisation. En étant très concerné par la Fédération des jeunesses vaudoises, Fabrice Destraz nous avoue que les Fribourgeois commencent gentiment à s’organiser. En Valais aussi, mais ils sont plus jeunes, donc ils sont encore de l’expérience à prendre. Les Suisses allemands ne font rien d’identique. Le canton de Vaud peut se glorifier d’être le pionnier dans le domaine des Jeunesses qui fête son 100e anniversaire. Pour une fois, les villes ont de quoi jalouser les campagnes. Elles sont très actives, tout en ne demandant rien au canton. Le mot de Gilles, «y en a point comme nous» est pour une fois parfaitement justifié.

Avis de recherche urgent : bénévoles inscrivez-vous !
Venez rejoindre Estelle et son équipe pour vivre une expérience unique au sein de la Fête
Travail accompli gratuitement et sans obligation !


Jean-Pierre Lambelet. |. Pour que la fête soit belle à Savigny du 3 au 21 juillet, un nombre important de bénévoles va contribuer à son succès. Mais, en ce 27 juin, il en manque encore pour que les nombreux postes fonctionnent à la perfection. Il y en a pour tous les goûts allant du service des boissons et des repas, aux caisses, au parking, au nettoyage, pour les sports, etc. Pour que les innombrables concours, animations et concerts soient totalement bien pourvus en bénévoles, l’ensemble de l’organisation a été découpée en 10’693 tranches de 4h de bénévolat! Ce qui représente 42’772 heures au total! Et dire qu’il en a déjà fallu autant aux 115 personnes bénévoles qui façonnent le site depuis plus de 2 ans…! Cet engouement est extraordinaire, mais Estelle Butty, présidente de la commission qui recherche des bénévoles, se fait encore quelques cheveux blancs (ce qui serait dommage à son âge…) pour compléter toutes les cases à remplir qui sont encore nombreuses. Alors, elle lance un avis de recherche urgent :
Amies et amis de la jeunesse, Amies et amis du 100e anniversaire de la Fédération des jeunesses campagnardes, Dès 16 ans, ou même en famille avec des enfants plus jeunes, Pour vivre le 100e et contribuer à son succès, il est primordial de passer 4 heures de bénévolat à Savigny entre le 3 et le 21 juillet…! Chaque tranche de 4h, cumulable à l’envi, donne droit à un t-shirt, un bon de repas et un bon de boisson. De quoi se faire une belle collection de t-shirts et se sustenter gratuitement! Et après la Fête, un repas regroupant tous les bénévoles sera offert. Alors, sans attendre, venez rejoindre Estelle et son équipe pour vivre une expérience unique au sein de la Fête!
Pour le contact en précisant bien vos coordonnées : Estelle Butty 079 697 00 07 benevolat@savigny2019.ch inscription possible sur place.
Une fête, 4 émissions, une radio
100.5 FM, la radio de la fête

Sarah Porchet. |. « Amis de la fédé, salut ! » C’est de la sorte que les discours officiels commencent lors des manifestations fédérées des Jeunesses campagnardes vaudoises. En parlant de manifestation fédérée, la prochaine c’est la fête des 100 ans de la FVJC (Fédération vaudoise des Jeunesses campagnardes) à Savigny. Pour célébrer cet anniversaire d’une manière bien singulière, une vingtaine de jeunes du canton se sont lancés dans la création d’une chaîne de radio éphémère : 100e FM. Ils travaillent d’arrache pied depuis le mois de décembre pour tout créer: nom, logo, émissions, chroniques, playlists, jingles, invités… etc. Heureusement, ils sont coachés par des passionnés de White FM, pour qui les radios éphémères ne sont pas un secret. En effet, ayant déjà travaillé pour Bavois Swinda et Radio Kopo, ce sont une aide inestimable pour la création et le déroulement de 100e FM. 100e FM sera diffusé pendant toute la fête à la tonnelle du 100e. Elle est disponible par ondes FM sur 100.5 pour la région de Savigny et sur 90.4 de Lausanne à Yverdon. Aussi disponible sur internet www.radio.savigny2019.ch ou sur l’application à télécharger gratuitement «100e FM». Bon été à tous et n’oubliez pas, c’est 100e FM qu’on écoute cet été!

Au programme
Les Désaxés de l’Oreiller de 7h à 10h – Pour des matinées déjantées et absurdes. Le matin c’est chiant, mais sans nous c’est pire… Alors si toi aussi t’as de la peine au démarrage, allumes ton transistor et retrouves-nous pour une émission déjantée et des chroniques aussi absurdes les unes que les autres.
Les Vaudoiseries de 10h à 13h – Des chroniques et des invités typiques de notre beau canton. Les vaudoiseries, c’est l’émission qui va faire sourire toutes les filles du canton, car oui, les Vaudoises rient. Plus sérieusement, c’est tous les jours un invité vaudois hors du commun au studio pour l’apéro, des chroniques, des recettes et plein d’autres surprises…
Le Love Time de 13h à 16h – Pour former des couples et faire parler des anciens de jeunesses, c’est à eux qu’il faut s’adresser. Le Love Time, c’est deux garcons, deux filles et des chroniques, « l’amour est sous la tonnelle », « le rdv des amoureux » et « la parenthese musicale ». Rires, nostalgie et interviews, sans oublier « d’la jeunesse à l’ems » : les anecdotes croustillantes d’anciens fédérés.
Les Flo’Cons de 16h à 19h – La FVJC et son histoire présentée par une équipe pas du tout sérieuse. Tout comme de la neige en été, les Flo’Cons, c’est vachement con… Et pourtant Florentin, Florent’deux, Floren’trois et Florent’oine te présentent la fédé, son histoire et le 100e avec le plus grand sérieux… Ou pas.
Musique non stop de 19h à 7h – De pas d’heure à plus d’heure… La Technique. Des câbles, des micros, des câbles, des ordinateurs et une chiée de câbles: bienvenue chez les techniciens de l’extrême, prêts à intervenir 24/7 (même si les grands manitous ne connaissent pas les stories instagram, snapchat ou la fonction lampe de poche sur leur natel…)
Dans le désordre – Louis, Chloé, Antonin, Valentin, Aurore, Henri, Gaston, Fernande, Serge, Monique, Sarah, Pauline, Jim, Arthur, Florentin, Florent’deux, Florent’trois, Florent’oine, Nuno, Yvan, Jessica et Sylvaine. Ceux qui ne sont pas nommés ici ont été oubliés mais on les entendra !

