80 ans d’Antoine Bovard

Mon cœur est léger ce soir

Mes poumons respirent à nouveau

Quel cadeau !

de ceux qui ne peuvent se compter

Enfin je le découvre après toutes ces années de vie…

après ces nombreuses années à tes côtés.

Ces écharpées, ces frustrations, et ces souffrances…

ces colères et ces insultes.

Et malgré tout tu es resté, moi aussi.

Fidèle et patient, sans savoir quand,

se lèvera le nouveau printemps.

Tous ces matins et ces soirs, voire ces nuits,

à travailler, à continuer,

dans la confiance et dans le don.

Celui d’un père pour son fils et d’un fils pour son père.

Un cadeau inestimable et des plus précieux,

dont je me demandais si je le trouverais ou le retrouverais

un jour…

Tu as fait équipe

et ô combien mes frères et moi,

avons reçu également de notre mère,

ta femme.

Aujourd’hui, c’est toi que j’honore

pour ton chemin de vie,

pour ta ténacité et ton amour…

Pour tout ce que tu nous as donné,

Pour tout ce que tu m’as donné

Pour ton infaillible présence

ces 12 dernières années

Pour le chemin que nous avons fait,

Pour la personne que tu es

avec nos différents et nos différences

trésors de diversité.

Milles mercis, 

Ton fils, Denis