Dolce farniente
Nous pouvons avec certitude affirmer que l’annuelle ère du farniente est révolue ; la rentrée est bien là ! Mais pas de regrets, au contraire, c’est bien reposés, pleins de souvenirs et d’une nouvelle énergie qu’il faut aborder ces prochaines semaines et week-ends.
Dans nos contrées, les activités de loisirs ont repris comme si elles ne s’étaient jamais arrêtées. Il n’est que de feuilleter cette édition pour contempler la densité des propositions et faire sa sélection. Seul l’embarras du choix présidera à vos futurs week-ends, les négociations à la maison vont être âpres…
Que l’on soit « du bas » ou « du haut », du lac ou des plaines, motoriste bruyant, esthète raffiné, ou que l’on aime simplement faire la fête, ces semaines sont pour vous !
Comme vous l’aurez déjà compris, votre hebdomadaire vous présente cette semaine – et sans doute pour les semaines à venir ! – les manifestations à ne pas manquer, car oui ! au risque d’enfoncer des portes ouvertes, Le Courrier se fait un point d’honneur à dévoiler (sans spolier) ce que les sociétés locales, associations et autres entreprises vous offrent pour magnifier ces beaux jours et passer un moment idyllique dans un Lavaux-Oron qui ne l’est pas moins ! Annoncer, être en amont, être partout pour vous est ce qui anime votre journal, car pour vivre la région, un livre d’histoire ne suffit pas !…
Ainsi, vous trouverez dans nos pages de quoi vous souvenir, vous régaler et vous réjouir ; que l’on parle des muscles endoloris du joyeux rameur du 44e Marathon du lac à Villette ou du cerveau anéanti du stratège des Semaines du Soir de Pully, la mémoire de la fête refleurira… que l’on se prépare à la douce folie d’Offenbach dans le somptueux cadre de Saint-Saph’, que l’on s’apprête au mieux pour une guinguette au Château ou que les dernières minutes soient dédiées à lustrer les chromes ou ajuster les vestiges du carburateur d’une vieille brêle pour affronter les virolets de Corcelles-le-Jorat ou les pentes de Vulliens…
Vous l’aurez déjà tous compris, le temps n’est plus au farniente… Ma che dolce vita !