Pas de commentaire…
Ana Cardinaux | L’Euro c’est de l’émotion, ce sont aussi 51 matches qui défilent sur les écrans, 24 nationalités qui s’affrontent. Je ne suis pas spécialiste de foot, loin de là; j’en ai eu joué dans ma jeunesse pendant les deux heures de gym pour faire passer plus vite cette discipline. C’était des entraînements mixtes où ma place était en défense, terme que je prenais au pied de la lettre, restant aux côtés du gardien pour lui faire la causette !
Souvenirs ridicules, dit un de mes garçons expert en foot, me conseillant de ne pas écrire, ne serait-ce qu’une ligne, sur ce sport que pourtant je regarde de temps en temps au bord des terrains sans y comprendre grand-chose, il faut l’admettre.
M’abstenant donc de tout commentaire, une petite question me trotte dans la tête:
Pourquoi va-t-on avoir de la sympathie pour le jeu de tel pays et pas pour un autre?
Je laisse le soin aux sociologues d’en discuter; sachant aussi que, souvent, l’équipe qui perd s’est tellement donné à fond pendant le match qu’elle mériterait de gagner.