Ce journal est votre journal, ça vous le savez déjà mais de temps à autre, il est bon d’en faire une piqûre de rappel…

Votre hebdomadaire s’applique, semaine après semaine, à mettre en avant les personnalités et les événements qui font du district Lavaux-Oron ce qu’il est, ni plus ni moins. Ce district né en 2008 – donc encore tout jeune – possède une histoire ancienne et des traditions fortement ancrées dans un paysage qui va du «haut» au «bas», des majestueuses forêts du Jorat et de la Broye, frôlant à peine les Préalpes et l’urbaine Lausanne, jusqu’aux non moins magnifiques coteaux de Lavaux, entre Pully et Saint-Saphorin, mais ça vous le savez aussi…
Journal officiel du district, Le Courrier se fait un point d’honneur à «couvrir» toute la région en tâchant de ne rien laisser dans l’ombre afin que vous ne ratiez pas une miette de ce qui se passe près de chez vous… Quoique les histoires crousti-fondantes, les chiens écrasés et autres prises de tête polémiques et sans fin, vous ne les lirez pas dans nos colonnes par respect de la concurrence qui le fait déjà tant bien que mal!
Vus sous un autre angle, ces événements sont du passé – sinon dépassés.
Votre hebdomadaire s’occupe principalement de promouvoir quelques beaux bastringues à ne pas manquer, quelques surprenants métiers à découvrir ou quelques hauts faits de champions locaux; un regard vers l’avant. Et si, d’aventure, il jette un regard en arrière et relate un événement passé, ce n’est que pour vous tendre le miroir d’un bon moment à garder.
Journal officiel du district, il l’est aussi à travers les informations importantes que les municipalités ont à communiquer à la communauté, que les associations ont à partager avec leurs membres, que les commerçants ont à offrir et que les particuliers cherchent; un regard sur l’échange.
Avec un peu d’ambition, peut-être habillée d’une humble prétention, très peu de mauvaise foi et un zeste d’humour, Le Courrier s’essaie à créer le lien, la solidarité qui font la force de la région.
Vous l’aurez compris, votre hebdomadaire a à cœur d’être le vecteur de nouvelles locales, traitées par ceux qui les vivent pour ceux qui les aiment.
Ni plus ni moins, bien au contraire!